Sorti des hautes pressions au large du Portugal, Groupama 4 vise la ligne d'arrivée devant la tour de Belem, à quelques milles seulement du leader émirati. Le final dans une bonne brise de secteur Nord devrait se jouer dans le fleuve Tage à la nuit tombée. La victoire est encore possible, la deuxième place est fort probable...
En milieu d'après-midi ce jeudi, il ne restait qu'à peine cent milles pour départager Abu Dhabi, en tête de cette transat depuis cinq jours, et Groupama 4, qui aura effectué un retour spectaculaire au Nord des Açores. Entrant les premiers dans la zone de vents mous qui sévissait entre l'archipel atlantique et la péninsule ibérique, Ian Walker et son équipage avaient opté pour une traversée à la latitude de Porto quand Franck Cammas et ses hommes préféraient se positionner cinquante milles plus au Sud pour viser directement Lisbonne. Les deux VO-70 se sont sortis d'affaire juste après le lever du soleil, conservant une toute petite marge sur le bateau américain.
Meilleur angle d'attaque
Derrière, le peloton avait profité de ce ralentissement nocturne pour rattraper nombre de milles et toute la flotte était dispersée avec moins de trente milles d'écart par rapport à l'arrivée. Tout pouvait donc être remis en cause par cette importante bascule du vent, du secteur Sud à un régime de Nord. Heureusement, la hiérarchie n'a pas été franchement bousculée, sauf pour les néo-Zélandais qui ont vu les Espagnols les passer par le Sud avant de combler leur retard...
Vers 7h ce jeudi, Abu Dhabi touchait enfin les dividendes de son option septentrionale en décollant des calmes sous spinnaker, puis ce fut au tour de Groupama 4 qui concédait alors une quinzaine de milles, d'accrocher les vents de Nord tandis qu'entre les deux, Puma traînait encore dans les brises volages. Dans le sillage du voilier français, Camper et Telefonica peinaient à s'extraire du piège anticyclonique. Restait alors à avaler les 200 derniers milles ! Et c'est là que le décalage Nord-Sud prenait de l'importance pour glisser vers l'arrivée. Franck Cammas et ses hommes se retrouvaient vent de travers dans un flux de Nord d'une vingtaine de noeuds tandis que Ian Walker et son équipage devaient abattre de 20° de plus pour piquer sur l'entrée du Tage.
Terre de nuit
A près de vingt noeuds de moyenne dans une brise qui mollit doucement en approchant des côtes, les premiers sont attendus entre 23h et 3h (heure française) devant Lisbonne. Avec une dizaine de milles d'écart à 16h, l'incertitude règne encore pour déterminer qui sera le mieux placé pour embouquer le chenal portugais en premier. Groupama 4 a l'avantage d'arriver par le Sud quand Abu Dhabi devrait être plus perturbé par les reliefs de Cascais. Les prédictions de vent sur le fleuve laissent entendre que le final sera extrêmement serré : une masse nuageuse va couvrir Lisbonne en début de nuit avec des brises plus erratiques pour aborder les quinze derniers milles. Il est donc encore impossible de dire si le voilier émirati arrivera à contenir le retour du bateau français...
Logiquement, les deltas sont suffisants pour que ces deux équipages ne soient pas inquiétés par les Américains, relégués à plus de 30 milles (quand il n'en restait plus que 100 à couvrir), eux-mêmes ayant une marge d'une vingtaine de milles sur Camper, les néo-Zélandais étant sous la pression des Espagnols. Si cette hiérarchie est respectée (que Groupama 4 finisse 1er ou 2ème à Lisbonne), c'est une superbe étape pour l'équipage français qui s'adjugerait alors la première place au classement général devant les Ibères ! Tout en écartant un peu plus le danger américain et kiwi...
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